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Quelques historiques Légion

Le Groupement des Compagnies Portées de la Légion Etrangère du Maroc :

Le 1er juin 1944 est formé à Fès et à Midelt le Groupement des Compagnies Montées et Portées du 3° R.E.I.
Il comprend les 13°, 14° et 15° Compagnies Portées ainsi que la 8° Compagnie Montée du 3° R.E.I, unités dissoutes en 1940.

En 1946, la 8° Compagnie Mixte-Montée est rattachée à la 4° DBLE, puis au 4° R.E.I et le Groupement est transfèré de Fès à Agadir.

Par décision ministérielle du 3 septembre 1946, il devient Groupement des Compagnies Portées de Légion étrangère du Maroc (G.C.P.L.E.M.) puis, en juillet 1947, Groupement Porté de Légion étrangère du Maroc (G.P.L.E.M.) .

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Le 22eme Bataillon de Génie-Légion.

Son origine se retrouve dans la 15° Compagnie d'Entretien du Génie créé le 15 décembre 1947 implanté à Haiphong (Tonkin).

Dissoute le 31 octobre 1952, elle donne naissance au 22° Bataillon de Génie-Légion.

Il poursuit des missions conformes à sa vocation dans le tonkinois.

Composé d'une Compagnie d'Equipement de Ponts et d'une Compagnie de Parc-atelier.

En 1954, le 22° est renforcé d'une Compagnie de Services et d'une Compagnie de Transport de Ponts.

Le bataillon est dissous en 1955.

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Le 76eme Bataillon du Génie-Légion.

En date du 8 juin 1951, il est prescrit la formation de trois unités, autonomes, pour effectuer des travaux d'infrastructure aérienne.

A la date du 1er juillet de la même année les compagnies ainsi constituées portent le numéro du 76° Bataillon, et comme le personnel légionnaire y est majoritaire,  l'ensemble est dénommé 76° Bataillon du Génie-Légion.

Les trois compagnies qui portent son numéro sont :

La Compagnie du Génie-Légion N° 76/1, devenue par la suite compagnie du génie des aérodromes. Des légionnaires y sont affectés avec des autochtones et des sous-officiers du génie métropolitain.

La Compagnie du Génie-Légion N° 76/2, stationnée surtout en Annam puis en Cochinchine.

La Compagnie du Génie-Légion N° 76/3, enfin, qui perdra son appellation le 1er octobre 1954.

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Le 1° Bataillon d'Ouvriers du Service du Matériel.

Créé le 1er février I947, par changement de dénomination du 651° Bataillon de Réparation du Matériel venant de Villingen (Allemagne), le 1° Bataillon d'Ouvriers du Service du Matériel est basé à Saigon en Cochinchine.

Au début de son implantation en Extrême-Orient aucune formation de Légion n'en faisait partie.

Ce n'est que le 1°mai 1947 que la 723° Compagnie de Réparation Automobile lui est rattaché et ce, jusqu'au 31 décembre 1948.

Le 1er avril 1951, il devient 1° Bataillon de Réparation du Matériel (1°BRM). Aucune formation Légion ne lui est rattaché officiellement.

Le 1°BRM est dissous le 31 décembre 1955.

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Le Groupe Mobile n°4.

Créés après la destruction de la R.C 4, les groupes mobiles sont des unités tactiques inspirés de l'épopée de la pacification du Maroc.

Ils comprenaient trois ou quatre bataillons d'infanterie, des batteries d'artillerie, des éléments de génie, renforcés éventuellement par des moyens blindés ou amphibies.

Constitué en novembre 1950, le Groupe Mobile N° 4 est composé de troupe nord-africaine d'infanterie, d'artillerie coloniale, et de la Légion étrangère.

Y seront affectés : le 2° bataillon de la 13° D.B.L.E, puis le 2° bataillon du 2° REI, en avril 1952, venu du Sud-Vietnam.

En 1953, le 2° bataillon du 2° REI quitte le groupe, remplacé par le 3° bataillon du 3° REI.

Le GM 4 sera dissous en octobre 1954.

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Le Détachement de Légion Etrangère de Mayotte

créé en 1973 à partir de la 2° compagnie du 3° REI, il s'est implanté dans l'archipel des Comores avant de se replier à Mayotte et devenir DLEM en 1976.

 Il a relevé les traditions et le drapeau du 2° Régiment Etranger de Cavalerie, dissous en 1962, après une brillante campagne Algérienne.

Est inscrit sur son étendard : Camerone 1863.

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Le 1° Régiment étranger de Cavalerie

("Le blindé de la Légion"), est héritier du "Royal Etranger de Cavalerie" (1659) et des escadrons montés de la légion étrangère.

Le 1° R.E.C a été créé à Sousse (Tunisie) en 1921. Il a ensuite participé aux campagnes du Levant, du Maroc, de France et d'Allemagne (5° D.B), d' Indochine et d'Algérie et, plus récemment, aux opérations du Tchad (1978-80), du Liban(1983-84), de Daguet (1991) et du Cambodge (1993).

Régiment blindé, il tient garnison à Orange depuis 1968.

Son drapeau est décoré de la fourragère aux couleurs de la croix de guerre 1939/1945, fourragère de la croix de guerre des TOE,
croix de guerre 1939/1945 avec 3 palmes,
croix de guerre des TOE avec 3 palmes.

Les inscriptions à son drapeau sont :

Camerone 1863 

Levant 1925/1926 

Maroc 1925/1927/1930/1934 

Ousselstia 1943 

Colmar 1945 

Stuttgart 1945 

Indochine 1947/1954

Le 4° Escadron du 1° REC a été cité à l'ordre de la brigade et décoré de la croix de guerre des théatres d'operations extérieures pour son engagement en 1999 au Kosovo.

Les escadrons à cheval constitués en 1920 à Saida, au sein du 2° étranger sont regroupés en Tunisie et forment en 1921 un nouveau corps : le 1° Régiment Etranger de Cavalerie (1er R.E.C.).

La garnison principale du régiment s'implante à Sousse.

En 1925 il est engagé simultanément sur deux théâtres d'opérations : En Syrie, et au Maroc.

Deux escadrons motorisés, créés en I929, prouvent leur valeur dans le Sud-Marocain.

En 1939, un groupe forme le 2° R.E.C., puis les deux régiments donnent naissance au G.R.D. N° 97 dont les combats sur la Somme en mai 1940 sont récompensés par une citation à l'ordre de l'armée.

A l'heure de l'Armistice, les survivants du G.R.D. et les éléments du 2° R.E.C. dissous, sont affectés au 1° R.E.C qui forme au Maroc trois groupes distincts (à cheval, porté et mécanique).

En 1943, le 1° R.E.C. reçoit un matériel moderne et forme le régiment de reconnaissance de la 5° division blindée.

Puis, en septembre I944, le 1° R.E.C. débarque sur les côtes de Provence et s'élance dans la campagne de la libération de la France.

Le régiment se couvre de gloire, libère Colmar, et pénètre en Allemagne jusqu'en Autriche, à la tête des Unités Blindées de la 1° Armée.

A la fin de la guerre son étendard porte deux nouvelles palmes et la fourragère de la Croix de guerre de 1939-1945.

Une autre guerre débute, plus insidieuse et lointaine. Le régiment embarque en décembre I946 à destination de l'Indochine.

L'année 1947 voit la montée en puissance et l'éclatement du régiment.

Répartis sur tous les théâtres, les 18 escadrons qui servent sous l'insigne et l'étendard du 1° R.E.C. participent pendant neuf ans aux durs combats de l'armée française en Indochine.

Trois nouvelles citations à l'ordre de l'armée et la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre des T.O.E ornent la cravate de son glorieux emblème.

En décembre I955, le régiment quitte cette terre où il a prouvé une fois de plus son efficacité.

Regroupé en afrique du nord il participe aux opérations de maintien de l'ordre en Tunisie.

Egalement corps de réserve générale, il participe à ce titre à des opérations d'envergure en 1959.

Le régiment se regroupe en 1963, dans l'enclave francaise de la base de Mers-el-Kébir.

Le 22 octobre 1967, le 1° R.E.C. arrive à Orange.

Jusqu'en 1975, le régiment s'adapte à ses nouvelles missions.

Affecté à la 4e division d'infanterie le 1° janvier 1976, le 1° R.E.C. retrouve l'Afrique, la même année à Djibouti, puis à Mayotte.

En 1978 et 1979, il est engagé au Tchad où il est cité à l'ordre de l'armée.

Jusqu'en 1982, il assure tout à la fois ses missions au sein de la 14e D.l. et le cycle des séjours outre-mer.

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Le 97° GRDI.

97° Groupe de Reconnaissance Divisionnaire


Initialement c’est une unité de type outre-mer créée le 1 décembre 1939 à Sousse par le CMCA (centre mobilisateur de cavalerie) 4, sous le numéro 180 avec des éléments du 1° REC.
 
L’unité devient ensuite le GRDI 97, de type normal par prélèvements de cadres et légionnaires des 1° et 2° REC, ainsi que du dépôt commun des régiments étrangers de Sidi-Bel-Abbès.

Le GRDI est plus particulièrement créé à partir du 2° escadron du 1° REC, de l’escadron d’instruction de Sidi Bel Abbes et d’un escadron motocycliste. Il est rattaché à la 7° DINA (division d’infanterie nord-africaine).
Du 19 au 24 mai le GRDI, seul dans la région de Rozières à Nesle, par ses combats isolés, il déroute l’ennemie qui a cru avoir faire à des éléments plus importants. De la Somme à la Dordogne, le groupe assure le repli de la 7° DINA, qui réussira à échapper à l’étreinte ennemie, mais il subit 50% de pertes. Pour ses actions remarquables, le 97° GRDI est cité à l’Ordre de l’Armée avec attribution de la Croix de Guerre avec Palme.
Rapatrié sur la Tunisie, le 7 septembre 1940, le groupe est dissous le 30 septembre à Sousse.
 
Le 97° GRDI a reçu une citation collective à l’Ordre de l’Armée.
 
Le 97° GRDI ne possédait pas d'insigne en propre. Il utilisait néanmoins l'insigne du Groupement Autonome du 1° REC en Tunisie avec le lion de l'Atlas. L'insigne du GA/1° REC fut remis aux survivants du 97° GRDI réaffectés après l’armistice au 1° REC.

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Etat-major et peloton de commandement : lieutenant-colonel Lacombe de la Tour (tué le 9 juin 1940 à Noroy) puis capitaine De Guiraud.
 
Adjoint : capitaine Moisson, capitaine Vatchnadzé.
 
EHR : capitaine Djincharadzé.
 
Escadron hippomobile : capitaine De Guiraud.
 
Escadron motocycliste : capitaine Colonna-Renucci.
 
Escadron de mitrailleuses et canons de 25 : capitaine Stevenin.

Pour en savoir plus :

http://grca.free.fr/historique_grdi/97_grdi.htm

Le 2° Régiment étranger de Cavalerie

est né le 1° juillet 1939 par les 3°, 4° et 5° escadrons du 1° REC formant un nouveau corps.

Dissous en 1940 par la commission d'armistice, il renaît le 1° juin 1946.

Implanté à Oujda, il participe aux activités des troupes du Maroc et prépare les renforts destinés à son aîné, le 1° R.E.C engagé en lndochine.

Dirigé sur l'Algérie, le 20 septembre I956, il montra sa valeur dans les secteurs de Négrine, Laghouat, Bou-Saàda.

La réorganisation de la Légion après le cessez-le-feu, entraîne sa dissolution le 31 juillet 1962.

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Voir également La Campagne du Mexique

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Dernière modification lundi 5 août 2013